Comment réduire le stress efficacement – Conseils d’experts

Sommaire

QU’EST-CE QUE LE STRESS ?

Le stress est l’état psycho-organique produit par l’écart entre le potentiel de l’individu et le défi qu’il doit relever. Le stress est la conséquence de l’effort psychique et physique pour affronter un obstacle. Pour gérer le stress, nous essayons d’augmenter la vitalité du pratiquant, afin que son potentiel augmente et qu’il puisse relever le défi qui se présente.
 
Le stress en soi n’est pas une mauvaise chose. Sans stress, les êtres humains seraient vulnérables et incapables de se battre, de travailler ou de créer avec l’énergie nécessaire. Le mal est l’excès de stress ou le manque de contrôle sur celui-ci.
Entre une alerte psychophysique et une autre, l’individu est capable de se remettre de cet état de tension organique et mentale.
 
Pour cela, il faudrait avoir une fréquence moindre de l’état de tension ou, alors, des techniques spécifiques pour minimiser la fatigue généralisée qui en résulte. Le stress, provoque en effet souvent une réaction en chaîne d’effets secondaires tels que des problèmes cardiaques, l’hypertension artérielle, la migraine, l’insomnie, la dépression, la nervosité, la baisse de productivité, la perte de cheveux, l’herpès, les problèmes digestifs, les ulcères, la gastrite, l’impuissance sexuelle, le mal de dos, entre autres maux. Le simple fait de réduire le stress suffit à atténuer tous ces effets secondaires. 
 
La DeRose Method, enseigne un ensemble de ressources efficaces pour réduire le stress à des niveaux plus sains.
C’est pourquoi de nombreux hommes d’affaires, cadres, artistes et professionnels libéraux recherchent dans la DeROSE Method la dose supplémentaire d’énergie et de dynamisme dont ils ont besoin pour mieux gérer les challenge du quotidien et ainsi mieux maîtriser le stress.
90% de nos élèves ressentent des effets de réduction du stress dès la première séance de notre méthode. Nos techniques et nos ateliers permettent de stimuler l’ocytocine, qui est une hormone produite dans l’hypothalamus. Grâce à sa stimulation, le taux de cortisol (hormone du stress) diminue dans l’organisme.

POURQUOI ÊTES-VOUS TOUT LE TEMPS STRESSÉ ?

Le syndrome du combat ou de la fuite

Il y a cent mille ans, les hommes avaient pour ennemis les grands mammouths et les tigres à dents de sabre, des bêtes géantes aux griffes énormes. De telles menaces exigeaient des réactions très rapides. C’était une question de vie ou de mort.
L’être humain s’est automatiquement préparé à réagir à la situation, en utilisant la force physique. Le cerveau a alerté son corps de la nécessité d’agir, déclenchant une chaîne de réactions, à partir de son système nerveux central, que le Dr Selye a appelé le syndrome de lutte ou de fuite.
 
Voilà ce qui se passait dans le corps de nos ancêtres au moment où ils se retrouvaient face à un animal sauvage. 
L’hypothalamus fait fonctionner l’hypophyse, qui à son tour stimule les glandes surrénales. Ces glandes ont libérées de l’adrénaline, ce qui accélère les battements du cœur, fait couler le sang plus vite et augmente la pression artérielle.
Les surrénales libéraient simultanément des corticoïdes qui ordonnent au foie de dépenser plus de glycogène. Alors que le sang glyqué s’éloignait de la surface du corps, se déplaçant vers les muscles et les organes internes, et c’est là que l’on devient momentanément pale. 
 
Face à une telle quantité d’énergie (glucose) à brûler, la fréquence respiratoire devient rapide et intense, augmentant le volume d’oxygène et on ressent des crampes aux mains. On est alors prêt à affronter la menace.
 

Combattre ou fuir tous les jours

Cent mille ans plus tard, face à une menace, vous vous exprimez d’une manière plus civilisée, plus acceptable socialement.
 
Pour contenir l’impulsion naturelle et instinctive ancrée en nous depuis des millénaires, vous pouvez activer le système nerveux parasympathique, afin de réduire le rythme cardiaque, la fréquence respiratoire et la pression sanguine. Cependant, une tension survit encore, un résidu d’excitation, d’adrénaline et de cortisol, qui mettra un certain temps à être entièrement évacué par le corps.
 
Malheureusement, dans le monde d’aujourd’hui, il est probable que vous rencontriez un autre “prédateur contemporain” avant que votre organisme n’évacue complètement la tension de la menace précédente. Une nouvelle réaction de fuite ou de combat est déclenchée dans un corps encore sous l’impact de forts changements biochimiques.
Une situation chronique s’installe alors, à des niveaux qui inhibent la relaxation, dans laquelle vous ne pouvez plus vous détendre. Même lorsque les menaces ne sont pas présentes, votre corps reste influencé par le syndrome de lutte ou de fuite.

APPRENEZ A UTILISER LE STRESS DE FAÇON PRODUCTIVE

Le stress est un mécanisme positif

Le fait d’avoir comme seule stratégie de gestion du stress, de le réduire et de l’évacuer, doit être repensée. Si le corps a envoyé de l’adrénaline dans notre système nerveux, ce n’est pas par hasard. Ce dont nous avons besoin, c’est d’utiliser cette substance à notre avantage. Lorsque nous sommes sous l’influence d’une pression, quelle qu’elle soit, notre corps utilise un artifice pour nous pousser à l’action. Ainsi lorsque l’on se sent stressé, l’essentiel n’est pas seulement de se détendre mais plutôt d’agir, de passer à l’action.
 
En d’autres termes on doit apprendre à transformer la tension en action. Dans ce sens on peut soit agir pour résoudre la situation inconfortable ou d’orienter notre énergie vers une autre activité productive. Par exemple, si vous vous sentez stressé à cause d’une incertitude au niveau financier vous pouvez utiliser cette pression pour travailler et produire davantage. Prenons maintenant un exemple d’orientation du stress vers une autre activité : si un collègue de travail a eu une attitude qui a causé chez vous une montée de stress, pourquoi ne pas utiliser la force potentielle générée pour pratiquer votre sport préféré ? En faisant une activité physique agréable vous allez non seulement décharger la pression ressentie mais aussi gagner en vitalité et prendre soin de votre santé.  
L’idée générale est d’utiliser la force du stress pour accomplir quelque chose de constructif. 
 
Au début de l’évolution de notre espèce, nous avions l’impulsion de réagir par le combat ou de fuite, mais depuis, beaucoup de choses ont changé ; il est donc grand temps de s’adapter à la réalité. Nous avons une grande variété de réponses que nous pouvons donner à cet élan fourni par une poussée d’adrénaline. Il s’agit ainsi de se conditionner soi même à agir de manière productive.
 
La DeRose Méthod nous offre les outils pour être plus attentif à nos comportements inconscients et pouvoir ainsi adopter des attitudes plus constructives et élégantes face aux différentes situations du quotidien.

Ne confondez pas stress et pression

La pression et le stress sont couramment utilisés comme synonymes ; toutefois, ils n’ont pas la même signification.
La pression est l’ensemble des exigences imposées à l’individu, tandis que le stress est la réaction de l’organisme lorsqu’il est soumis à une pression physique ou psychologique inappropriée.
 
Bien que la pression et le stress n’aient pas la même signification, la pression conduit souvent au stress. Mais il est aussi possible de se sentir stressé en l’absence de pression. Le fait de ne pas avoir à lutter ou à fuir conduit parfois à ressentir une autre forme de stress et d’anxiété.
 

Quel serait alors le bon niveau de pression ?

Le bon niveau de pression est celui dans lequel vous vous sentez bien et faites de votre mieux, sans nécessairement vous sentir stressé. Lorsque vous êtes à ce niveau de pression adéquate, vous dormez bien, vous vous réveillez de bonne humeur, vous faites du sport, vous travaillez sans sentir le besoin de vous reposer. A l’inverse à chaque fois que le niveau de pression augmente et que vous sentez une sensation d’inconfort, vous devez sans doute mieux gérer le stress.

LE COUPABLE N’EST PAS LE DÉFI, MAIS VOTRE RÉACTION

Dans le livre Stress For Success, James Loehr déclare : “Ce ne sont pas les embouteillages, le chômage ou un patron mécontent qui nous épuisent, c’est la façon dont nous réagissons à chacune de ces choses”.
Ce que nous entendons le plus souvent à propos du stress, c’est qu’en le réduisant, nous aurons une meilleure qualité de vie et un plus grand bien-être. Cependant, il y a une énorme différence entre l’exposition à un évènement et la façon dont vous y réagissez. Dans ce sens une bonne gestion du stress consiste principalement à repenser son rapport aux défis du quotidien et à apprendre à utiliser la pression comme stimulus pour travailler, agir et construire. 
Ce qui nous épuise au quotidien, c’est notre réponse émotionnelle face aux différents événements.
 
Il est important de préciser que l’émotion n’est pas seulement dans notre tête. Il a été prouvé que même les lymphocytes (les cellules de défense de l’organisme) réagissent aux stimuli émotionnels. C’est là que se trouve un grand défi du stress : apprendre à modifier ces réponses biochimiques et améliorer ainsi notre niveau de forme, de santé et de performance de façon générale.

Dans ce sens une des meilleures techniques à adopter au quotidien est la respiration.

Découvrez ici : 6 exercices de respiration pour débutants.

Pour repenser nos réactions émotionnelles, il est intéressant de réfléchir au sentiment d’impuissance ou de frustration que beaucoup d’entre nous expérimentent fréquemment. Nous n’avons pas le contrôle des événements qui surviendront dans notre vie, mais nous pouvons développer notre capacité à contrôler la façon dont nous réagissons à ces événements. Lorsque l’on parle de stress trop élevé, le plus important est d’adopter une attitude active face aux événements, de faire quelque chose, de se mettre en mouvement. Ce que l’on fait est moins important que le fait de faire quelque chose. Cela nous évite d’être submergé par le sentiment d’impuissance et de frustration.
 

Le système limbique est capable de déclencher une réponse physique pour chaque émotion et cela se produit avec ou sans l’intervention de la conscience. Par exemple : vous savez qu’il est impossible qu’un dinosaure vous saute dessus, mais vous ressentez de la peur en regardant le film Jurassic Park. Plus surprenant encore : des recherches récentes indiquent qu’il suffit de bouger les muscles du visage comme si l’on était en colère, effrayé, etc., pour que les réactions physiologiques respectives soient réellement déclenchées. La réciproque est vraie : souriez et vous déclencherez la propension à vous sentir heureux.

Il est ainsi intéressant en plus de la respiration, de travailler consciemment sur sa posture. Vous trouverez ici un article sur Les meilleures positions pour méditer. Ces postures de méditation vont notamment vous faire prendre l’habitude de garder le dos droit, la poitrine ouverte et le visage détendu. On crée ainsi les conditions physiologiques d’un état de plus de bien-être et de détente. 

 

L’exposition au stress est essentielle pour améliorer ses performances et son potentiel. C’est pourquoi fuir les situations stressantes ne nous rendra pas invulnérable, bien au contraire. L’idée n’est pas non plus de subir le stress. On entend certaines personnes dire qu’elles ont une bonne résistance au stress. Cela veut souvent dire qu’elles sont capables de continuer à produire malgré le stress. Si elles se sentent bien et qu’elles sont actives, alors le stress est bien géré. Mais si c’est simplement un leurre et qu’elles continuent à avancer malgré un mal être de plus en plus profond, alors le stress va sans doute causer des dégâts profonds au niveau physique et mental.

L’objectif n’est donc pas de subir le stress et de l’emmagasiner mais plutôt de trouver des stratégies pour en faire quelque chose, et transformer notre rapport à nos activités du quotidien. Par exemple, au lieu de se stresser en courant dans les transports en commun, on peut profiter de nos déplacements pour écouter de belles musiques, lire un romain, écrire ses pensées, ou toute autre activité où l’on se sent bien et connecté à soi.

VOTRE CORPS, VOTRE SANTÉ ET LE STRESS

Un jour, je suis allé chez le dermatologue pour qu’il analyse ma perte de cheveux et il m’a dit : “C’est le stress.” Et ça n’a pas aidé que je lui explique que je suis la personne la moins stressé qu’il ait jamais rencontré. Je travaille dans un domaine que j’aime, je me réveille à l’heure que je veux, je décide de ce que je veux faire, j’ai une femme qui est douce et nous ne nous disputons jamais, ma secrétaire s’occupe de tout pour moi … bref : je n’ai pas de stress du tout. Mais le dermatologue pensait toujours que la perte de cheveux était due au stress et non à la testostérone.
 
Quelque temps plus tard, je suis allé chez le cardiologue pour faire contrôler ma tension artérielle, car elle était un peu élevée, et il m’a dit : “C’est le stress”. Et il ne servait à rien que j’explique que mon père faisait de l’hypertension, donc que la première hypothèse devait être génétique. Il continuait à penser que c’était du au stress.
 
Un autre jour, je suis allé chez le gastro pour voir si on pouvait localiser la bactérie que j’avais sûrement ramenée de mes nombreux voyages en Inde et qui me causait des crampes abdominales. Il m’a dit : “C’est le stress.” Et il était inutile d’expliquer qu’avec 25 ans de voyage dans l’Himalaya, il était inévitable que j’aie apporté des bactéries, des protozoaires et tout un zoo de micro-organismes différents des nôtres. Il a continué à penser que la cause était le stress.
 
Un jour, je me suis blessé au dos en m’entraînant à l’Aïkido. Je suis allé chez l’orthopédiste, et dès que j’ai déclaré que j’avais mal au dos, il m’a dit, en se basant sur son expérience : “C’est le stress”. Et il était inutile que j’explique que la cause était un traumatisme. Il ne cessait de répéter que, quel que soit l’impact sur les vertèbres, le stress était associé au mal de dos.
 
Mais le plus incroyable, c’est quand, des années plus tard, je suis allé chez le dentiste avec un abcès sur une dent et que le dentiste m’a tout de suite dit : “C’est le stress. Des études récentes ont prouvé que le stress déclenche des abcès et toutes sortes d’inflammations, y compris le cancer, car il diminue la résistance de l’organisme.”
La conclusion des cas ci-dessus est que, quel que soit votre problème, le déclencheur peut avoir été une forme de stress. Vous pouvez avoir dans votre organisme des virus et des bacilles qui ne créeraient jamais de problème s’il ne se produisait pas la diminution de la capacité immunologique par le stress. C’est le cas du virus de l’herpès, qui est là tranquillement jusqu’à ce que vous ayez un épisode de stress : immédiatement, les maudites cloques commencent à apparaître sur les lèvres ou les organes génitaux. Vous pouvez avoir une propension génétique au cancer, mais il ne se développerait jamais s’il n’y avait pas une faible résistance de l’organisme.

PASSONS MAINTENANT À LA PRATIQUE

Si vous souhaitez un approche pratique complète de gestion du stress,
 
Vous apprendrez ainsi les meilleures exercices de respiration, relaxation et médiation pour se sentir bien. 

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Je comprends et accepte la procédure d’admission de cette entreprise à laquelle je postule. Je sais que ma demande d’inscription sera soumise à l’approbation du directeur et j’accepte de respecter toute décision prise. Je comprends que pour participer aux activités de DeRose Meditation, je dois être en bonne santé physique et mentale. Je ne dois pas avoir d’incapacité, de déficience, de blessure ou de maladie m’empêchant de faire de l’exercice (actif ou passif) ou qui entraînerait un risque de blessure ou des problèmes de santé suite à la participation aux activités de quelque manière que ce soit.

Je comprends et déclare également que je ne porte aucun problème psychologique, psychiatrique ou neurologique. Il est de ma responsabilité d’informer le directeur de DeRose Meditation de tout changement dans mon état de santé, même temporaire. En participant à toute activité de DeRose Meditation, j’exonère automatiquement de responsabilité cette entité, ses instructeurs, son directeur et en particulier le professeur DeRose, qui n’a aucune affiliation administrative, financière ou autre avec cette entité. Je suis conscient que cette entité est un centre culturel, pas une salle de sport, et ne travaille donc pas avec l’éducation physique ou les activités sportives.

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