Les différents types de Yôga – Le guide pour tout comprendre

Il existe 108 types de Yôga reconnus en Inde. Ils sont d’ailleurs très différents entre eux : certains utilisent des techniques mentales, d’autres physique, certains sont patriarcaux, d’autres matriarcaux, etc. Malgré leurs différences, ils suivent tous la définition du Professeur DeRose suivante : ”Le Yôga est toute méthodologie strictement pratique qui conduit au samadhi”. Le samadhi peut se définir par un état de présence, de conscience plus large. Vous pouvez également lire notre article sur le samadhi.

Les premières branches de Yôga les plus anciennes, d’origine Pré-Classique.

Asana Yôga, le Yôga du corps

Le terme asana signifie “position”. À l’origine, il faisait principalement référence aux positions assises pour la méditation. Dorénavant, certains le traduisent par “posture” ou “pose”. Ainsi, l’Asana Yôga est une branche qui ne contient que des asanas, des postures physiques, et rien d’autre. Parfois, il est confondu avec le Hatha Yôga, car, actuellement en Occident, lorsque les gens disent qu’ils vont pratiquer le Yôga, ils font presque toujours référence aux asanas. On dit que le Asana Yôga a dû être l’une des premières branches à apparaître, lorsque l’être humain primitif s’est étiré, créant ainsi le premier asana.

Raja Yôga, le Yôga mental

Raja signifie royal (des rois). Ce Yôga se compose de quatre parties ou angas : pratyáhára (abstraction des sens), dháraná (concentration mentale), dhyána (méditation) et samadhi (hyperconscience). Il était également appelé Chaturanga. Plus tard, vers le IIIe siècle avant Jésus-Christ, à ces quatre techniques s’est ajoutée une introduction constituée de quatre autres techniques (yama, niyama, asana, pranayama). Cela a donné l’Ashtánga Yôga, aussi appelé Yôga classique.

Des plus anciens Raja Yôga sont nés le Pátañjala Raja Yôga et le Suddha Raja Yôga. Du Pátañjala Raja Yôga, le Kriyá Yôga est né.

Bhakti Yôga, le Yôga de la dévotion

Bhakti signifie dévotion. Dans ses origines préclassiques, le Bhakti Yôga reposait sur une philosophie théorique naturaliste (reconnaissance et foi en la nature telle qu’elle est, sans y ajouter de notions d’esprit ou de Dieu). Dans la région où ce Yôga s’est développé, il n’y avait en effet aucune preuve de l’existence de religions institutionnalisées. Le Bhakti Yôga préclassique consiste ainsi à vénérer les forces de la nature, le Soleil, la Lune, les arbres, les rivières, et tous les autres éléments de la nature, tels qu’ils sont. Le Bhakti Yôga, plus tardif, a évolué vers une philosophie spiritualiste, consistant à vénérer des divinités et des chefs spirituels.

Karma Yôga, le Yôga de l’action

Karma signifie action. Ce Yôga incite à l’action. Même si certaines influences médiévales lui ont donné des aspects d’un Yôga de type Vêdanta (spiritualiste), ce Yôga a véritablement pour objectif de pousser à l’action, au travail, à la réalisation. Il ne vise pas uniquement un travail de l’esprit. Cette dynamique reste, en principe, désintéressée : elle ne vise pas les avantages, les récompenses ou la reconnaissance personnelle.

Jñána Yôga, le Yôga de la connaissance de soi

Jñána signifie connaissance. La méthode proposée consiste à méditer sur la réponse que votre esprit élabore à la question “Qui suis-je ?”, jusqu’à ce qu’il n’y ait plus aucun élément qui puisse être séparé du Soi et analysé. À ce stade, le pratiquant aura trouvé la monade, ou l’être. De Jñána Yôga sont nés Dhyána Yôga et Mahá Yôga.

Laya Yôga, le Yôga des paranormalités (capacité hors du commun)

Laya signifie dissolution. L’intention de ce type de Yôga est de dissoudre la personnalité, c’est-à-dire d’éliminer la barrière qui existe entre l’ego et le Soi. En partant du principe que le Soi ou la monade est l’Absolu lui-même qui réside dans chaque être vivant, en dissolvant la barrière de la personnalité (persōna,æ = masque), toute sa puissance et sa sagesse affluent directement dans la conscience du praticien. De Laya Yôga est né le Kundaliní Yôga.

Mantra Yôga, le Yôga des vocalisation (maîtrise des sons et des ultrasons)

Mantra signifie “vocalisation”. Il s’agit d’une branche du Yôga qui vise à atteindre la connaissance de soi par la résonance de sons transmise aux centres énergétiques du corps. Ce Yôga cherche également l’arrêt des pensées en saturant les ondes mentales par la répétition d’un même stimulus sonore. En conséquence, la conscience augmente et le praticien atteint le samadhi. De Mantra Yôga sont nés Japa Yôga et Náda Yôga.

Tantra Yôga, le Yôga matriarcal et sensoriel

Tantra signifie la bonne façon de faire quelque chose, l’autorité, la prospérité, la richesse, ou encore le cordage (par exemple, d’un instrument de musique). C’est la voie de l’amélioration et de l’évolution intérieures par la proposition matriarcale, sensorielle et non répressive. Elle enseigne comment entrer en relation avec soi-même, avec les autres êtres humains, les animaux, les plantes, l’environnement, tout. Elle entend atteindre l’objectif par le renforcement et la canalisation de la libido. De Tantra Yôga sont nés Hatha Yôga, Urdhwaratus Yôga et Amritá Yôga.

SwáSthya Yôga, le Yôga Antique, le tronc qui a donné naissance aux 8 branches mentionnées ci-dessus.

SwáSthya (qui peut également s’écrire “svāsthya”), en sanskrit, signifie autonomie, santé, bien-être, confort, satisfaction. SwáSthya Yôga est le nom de la codification (ou systématisation) du Yôga Antique, de racines Dakshinacharatántrika-Niríshwarasámkhya. La systématisation de ce Yôga préclassique a été réalisé par le professeur DeRose avec son premier livre publié en 1969. Ce travail s’est fait au cours de plus de 60 années d’enseignement et 25 voyages d’étude en Inde.

Ce Yôga est le plus complet, car il contient tous les éléments qui ont donné naissance aux huit Yôga décrits ci-dessus. Une séance travaille l’enchaînement des huit groupes de techniques, à savoir : mudrá (signes), pújá (accord avec les archétypes), mantra (vocalisation de sons et d’ultrasons), pranayama (expansion de la bio énergie, de l’énergie vitale, grâce à des exercices de respiration), kriyá (purification des muqueuses), asana (postule corporelle), Yôganidrá (technique de relaxation) et samyama (concentration, méditation et autres états de conscience plus profonds).

Autres Yôga, constituant des sous branches apparues plus tardivement

Shuddha Raja Yôga, une variété de Raja Yôga

Suddha signifie pur. Ce Yôga se compose principalement de mantras et de méditation. Le professeur DeRose a été initié au Shuddha Raja Yôga, en 1965, par Shrí Janárdana. Il indique qu’il a “aimé sa méthode de méditation. Il utilisait la concentration sur la flamme allumée sur une tablette de camphre et le mantra “ÔM namo Narayanaya”, répété 108 fois”.

Kundaliní Yôga, le Yôga de la puissance intérieure

Ce qui est devenu connu sous le nom de Kundaliní Yôga, au XXe siècle, est une fusion du Laya Yôga avec des techniques du Hatha Yôga et d’autres Yôga. SwamiNigamananda, dans la décennie de 1930, a enseigné une forme de Laya Yôga à partir de laquelle, en 1935, le médecin et moine Shivánanda a popularisé le Kundaliní Yôga, avec la publication d’un livre portant ce nom. C’est un type de Yôga qui vise à réveiller l’énergie qui se trouve dans le périnée et qui a une relation directe avec la libido. Son éveil et son ascension à travers la moelle épinière jusqu’au cerveau produisent une constellation de paranormalités, culminant dans un état de conscience élargi appelé samadhi, qui est le but du Yôga.

Siddha Yôga, le Yôga du mantra, du puja, du seva et de la méditation

Cette modalité a été créée par Swami Muktánanda en 1956. Siddha signifie le parfait, ou celui qui possède les siddhis (pouvoirs paranormaux). D’après son nom en sanskrit, il peut sembler être apparenté au Kundaliní Yôga, mais en fait, il lui ressemble peu. On y pratique beaucoup de mantra, de puja, de seva et de méditation.

Kriyá Yôga, amélioration de soi, étude de soi et abandon de soi

Branche du Yôga ravivée par Lahiri Mahasaya et fondée aux États-Unis en 1920 par Yôgánanda. Kriyá signifie activité. C’est un Yôga très répandu aux États-Unis dans les années 1950, où il présente de belles installations. Il se compose de trois niyamas (règles éthiques) : tapas (amélioration de soi), swádhyáya (étude de soi) et íshwara pranidhána (abandon de soi). Il est cité dans le Yôga Sútra, un livre du IIIe siècle avant J.-C. Le meilleur livre est Tantra Yôga, Náda Yôga et Kriyá Yôga, par Shivánanda. C’est le seul ouvrage qui enseigne ouvertement le Kriyá Yôga, sans faire de mystère.

Yôga intégral, le Yôga de l’intégration dans les activités quotidiennes

Il a été créé par Shrí Aurobindo en 1926. On l’appelle Yôga intégral non pas parce qu’il est plus intégral que les autres, comme son nom peut le suggérer. Il est appelé ainsi parce que son but est de s’intégrer à la vie professionnelle, culturelle et artistique du pratiquant. Aurobindo souhaitait notamment que “le Yôga cesse de ressembler à quelque chose de mystique et d’anormal qui n’a aucune relation avec les processus communs de l’énergie terrestre”.

Le Yôga classique, le Yôga de Pátañjali

Le Yôga classique est un excellent type de Yôga. Il est difficile de trouver un Yôga classique légitime en Occident. Le Yôga classique est composé de huit parties ou angas qui sont : yama, niyama, asana (techniques corporelles), pranayama (respiration), pratyáhára, dháraná, dhyána, samadhi (concentration et méditation).

Hatha Yôga, le Yôga physique

Hatha signifie force, violence, et non le poétique “Soleil-Lune”, comme le déclarent certains livres. Il s’agit d’une branche médiévale, créée par Gôrakshanatha, au XIe siècle de l’ère chrétienne. Par conséquent, elle est considérée comme un Yôga moderne, apparaissant plus de quatre mille ans après l’origine du Yôga primitif. Il est constitué par les quatre angas initiaux du Yôga de Pátañjali (yama, niyama, asana, pranayama). Toutefois, dans les studios et académies de Yôga, les deux premiers angas ne sont pas enseignés, restant dans la pratique restreinte aux seuls asana (techniques corporelles) et pranayama (techniques respiratoires). D’autres techniques peuvent être ajoutées, comme les bandhas, les mudrás et les kriyás, mais pas nécessairement. La méditation ne fait pas partie et, normalement, ne devrait pas être incluse dans une séance de Hatha Yôga.

Power Yôga, une variété de Hatha Yôga

Il s’agit d’une sorte de Hatha Yôga, créée aux États-Unis par Bryan Kest, dans les années 1980, ce qui est cohérent avec son nom hybride entre l’anglais et le sanskrit.

COMMENT ONT SURGI LES DIFFERENTS TYPES DE YÔGA

De nombreux Yôga existent aujourd’hui. Ils peuvent être regroupés et identifiés en fonction de leur philosophie théorique et comportementale (le tronc) et de leurs pratiques (les branches).

Le tronc

Le tronc fournit les fondements théoriques (Sámkhya, c’est-à-dire naturaliste ou Vêdánta, spiritualiste) et comportementaux (Tantra, c’est-à-dire matriarcal ou Brahmacharya patriarcal).

Ainsi, il est possible d’identifier 4 troncs, à savoir 4 principales lignées de Yôga :

  • Naturaliste x matriarcal
  • Naturaliste x patriarcal
  • Spiritualiste x matriarcal
  • Spiritualiste x patriarcal

Les branches

Pour chacun des 4 troncs, les branches sont les différentes combinaisons de techniques, comme différentes recettes de gâteaux. Dans telle recette de cuisine, nous utilisons de la farine de blé, du beurre, des œufs, et de la levure. Dans cette autre recette, nous utilisons de la farine de maïs, de la margarine, et du miel. Dans celle-ci, nous n’utilisons pas d’œufs. Etc.

Dans le cadre du Yôga, les techniques peuvent par exemple être pratyáhára (abstraction des sens), dháraná (concentration mentale), dhyána (méditation), ou encore mudrá (gestes) ou pranayama (expansion de la bio énergie).

Le but du Yôga

Dans tous les cas, chaque branche constitue une méthode complète, une recette, pour atteindre un seul et même but commun à tous les Yôga : la connaissance de soi par le samadhi (état de conscience élargi). Les effets positifs sur la santé obtenus par la pratique régulière du Yôga, comme davantage de souplesse, une meilleure condition physique ou un alignement du corps et de l’esprit, ne doivent en effet pas être confondus avec ce but. En effet, la variété des Yôga vient simplement des modifications successives choisies par les pratiquants au long des siècles.

L’arbre du Yôga Préclassique

Commençons par étudier l’arbre du Yôga Préclassique, ses racines et ses branches qui ont jailli du tronc ancestral, vieux de plus de 5 000 ans.

Les racines et le tronc le plus ancien.

Historiquement, le nom du “Yôga Préclassique” était simplement “Yôga”(*), car il n’y en avait pas d’autres avec lesquels on pouvait le confondre. Après l’émergence d’autres troncs, il est devenu nécessaire de distinguer le plus ancien. Ainsi, lorsqu’un Yôga de racine Brahmacharya (patriarcale) a été introduit, il a fallu préciser que le plus ancien n’était pas patriarcal, mais Tántrika, matriarcal.

Lorsque le Tantra de la “main gauche”, Vamachara, est apparu, avec ses excès, il a fallu préciser que le plus ancien, le Tantra originel était “de la main droite”. Jusqu’alors, la ligne la plus ancienne n’avait même pas de nom. Il y avait “Tantra” d’un côté et “Tantra de la main gauche” de l’autre. Avec le temps, pour éviter les malentendus, il a fallu créer un nom : Dakshinachara. Notre tronc original est ainsi connu sous le nom de Dakshinachara-tántrika Yôga.

Lorsque le Sêshwara-Sámkhya (naturalisme plus récent, autour du IIIe siècle avant JC.) a émergé, il a été nécessaire de le distinguer du naturalisme le plus ancien : Niríshwara-Sámkhya. C’est ainsi que le nom complet du Yôga le plus ancien est Dakshinacharatántrika-Niríshwarasámkhya Yôga. Lorsqu’il a été codifié par le professeur DeRose avec son premier livre publié en 1969, il a été appelé SwáSthya (littéralement autosuffisance, confort, satisfaction, santé, bien-être). Le SwáSthya est ainsi le nom de la systématisation du Yôga Antique.

Les branches

Les huit premières branches de Yôga à apparaître étaient celles décrites au début de cet article : Asana Yôga, Raja Yôga, Bhakti Yôga, Karma Yôga, Jñána Yôga, Laya Yôga, Mantra Yôga et Tantra Yôga. Compte tenu des informations partagées ci-dessus, nous pouvons détecter deux erreurs couramment commises dans la littérature spécialisée :

  1. il y aurait sept branches aînées (il y en a huit ****!);
  2. l’une d’entre elles serait le Hatha Yôga (mais il n’existait pas à cette époque et n’a été créé que quatre mille ans plus tard !)

À quoi sont dues ces erreurs ? Deux principales raisons :

  1. Certains auteurs d’ouvrages sur les Yôga ne reconnaissent que sept branches, en raison du fait qu’ils sont issus de la lignée Brahmacharya (patriarcale), qui a systématiquement exclu toute référence au Tantra (système matriarcal) et à la civilisation dravidienne ;
  2. Certains mentionnent le Hatha Yôga, car ce sont des instructeurs Hatha qui souhaitent que cette modalité moderne, qui n’est apparue qu’au XIe siècle après Jésus-Christ, soit acceptée par l’opinion publique comme si elle était très ancienne – en perpétuant cette contre-vérité, ils enfreignent le commandement éthique satya (ne pas mentir).

Pour aller plus loin : http://derose.co/tratado-video4-arvoredoYôga

(*) Dans le souci de respecter l’écriture du mot Yôga en sanskrit, nous recommandons qu’il soit écrit avec un Y majuscule et un accent circonflexe sur le ô.

OFFRE SPÉCIALE DÉCOUVERTE

14 jours offerts
Cours Présentiel ou Online

Contidions d'utilisation

CONDITIONS D'UTILISATION

Je comprends et accepte la procédure d’admission de cette entreprise à laquelle je postule. Je sais que ma demande d’inscription sera soumise à l’approbation du directeur et j’accepte de respecter toute décision prise. Je comprends que pour participer aux activités de DeRose Meditation, je dois être en bonne santé physique et mentale. Je ne dois pas avoir d’incapacité, de déficience, de blessure ou de maladie m’empêchant de faire de l’exercice (actif ou passif) ou qui entraînerait un risque de blessure ou des problèmes de santé suite à la participation aux activités de quelque manière que ce soit.

Je comprends et déclare également que je ne porte aucun problème psychologique, psychiatrique ou neurologique. Il est de ma responsabilité d’informer le directeur de DeRose Meditation de tout changement dans mon état de santé, même temporaire. En participant à toute activité de DeRose Meditation, j’exonère automatiquement de responsabilité cette entité, ses instructeurs, son directeur et en particulier le professeur DeRose, qui n’a aucune affiliation administrative, financière ou autre avec cette entité. Je suis conscient que cette entité est un centre culturel, pas une salle de sport, et ne travaille donc pas avec l’éducation physique ou les activités sportives.

Je comprends et accepte la procédure d’admission de cette entreprise à laquelle je postule. Je sais que ma demande d’inscription sera soumise à l’approbation du directeur et j’accepte de respecter toute décision prise. Je comprends que pour participer aux activités de DeRose Meditation, je dois être en bonne santé physique et mentale. Je ne dois pas avoir d’incapacité, de déficience, de blessure ou de maladie m’empêchant de faire de l’exercice (actif ou passif) ou qui entraînerait un risque de blessure ou des problèmes de santé suite à la participation aux activités de quelque manière que ce soit.

Je comprends et déclare également que je ne porte aucun problème psychologique, psychiatrique ou neurologique. Il est de ma responsabilité d’informer le directeur de DeRose Meditation de tout changement dans mon état de santé, même temporaire. En participant à toute activité de DeRose Meditation, j’exonère automatiquement de responsabilité cette entité, ses instructeurs, son directeur et en particulier le professeur DeRose, qui n’a aucune affiliation administrative, financière ou autre avec cette entité. Je suis conscient que cette entité est un centre culturel, pas une salle de sport, et ne travaille donc pas avec l’éducation physique ou les activités sportives.

Whatsapp
Besoin d'aide ?
Salut moi c'est Jonathan ! :)
Est-ce que je peux t'aider ?